Citations de vos personnages

Premier roman Nombre de messages : 97 Date d'inscription : 29/03/2007

Parce qu'il arrive parfois qu'ils sortent une réplique, comme ça... soit on y a réfléchit longuement pour la sortir, soit elle nous surprend parce que justement, le perso l'a "trouvé tout seul".

Brainstorming des phrases chocs ou ridicules de vos persos ! Et ce même si vous ne les avez pas encore publiées Razz

Fighting Goddess :
"Mon Dieu est ma force, ma foi est sa puissance." Devise de la Section Deus, par Freedom Kanaba

"Horus, c'est celui avec la tête de moineau ?" Aubry à Svayl
"Agah..." Aubry, phrase fétiche
"Qu'il te touche et je le castre à coup de poêl à frire !" Aubry à Horus
"Swoooooooooom, striiiiiiiiiiiike !" Aubry, toujours très finaude au combat
"Je voulais déjà pas d'un dieu à la base, maintenant faudrait que je m'en tape un deuxième ?" Aubry, mais ne spoilons pas.

Nériaès et Co :
"La démocratie ne s'importe pas, elle s'invente. La liberté ne s'offre pas, elle nait de la raison. La paix n'est pas un idéal, elle est un effort." Xian Shui Zhuan, Astre du Jour et Empereur
"L'arbre de la prospérité nait de graines volontaires; reste à son jardinier le devoir de les faire pousser dans le bon sens." Xian S. Zhuan
"Je brûle ! Comment puis-je ? Se pourrait-il que j'ai aimé ? Trois Glorieux, ayez pitié, je l'aime !" Xian S. Zhuan, suite à la mort factice de Nériaès

"Ah, vous enquêtez ? Okay. Les comptes secrets sont cachés dans les livres d'histoire galactique.
-Des comptes pour quoi, des armes, de la contrebande ?
-Non, mes dépenses exorbitantes en pornographie." Nériaès à Kassendrel, premier jour d'enquête.
"Tuée par un corset, c'est quant même vachement honteux." Nériaès à Kassendrel
"Aaaaaaah, frappez moi mais pitié, reposez ce vase, il vaut plus cher que vous !" Nériaès à Kassendrel
"Si vous n'étiez ma fille, je vous aurai tuée.
-Si vous n'étiez mon père, je vous aurai traité de putain !" Nériaès et Harmonia, sa fille
"Je vous veux.
-Et moi je veux une planète. Comme quoi on ne peut pas toujours tout avoir, dans la vie." Xian et Nériaès

Vampyr (bientôt chez votre marchand de journaux):
"Oh, un SS qui miaule." Georg Neumann, communiste polyglotte

"A quoi penses-tu ?
-A une paire de Ray-ban." Azanov et Königs, en pleine scène "romantique"

J'ai adoré :

Citation :: "Qu'il te touche et je le castre à coup de poêl à frire !" Aubry à Horus

"Ah, vous enquêtez ? Okay. Les comptes secrets sont cachés dans les livres d'histoire galactique.
-Des comptes pour quoi, des armes, de la contrebande ?
-Non, mes dépenses exorbitantes en pornographie." Nériaès à Kassendrel, premier jour d'enquête.

"Aaaaaaah, frappez moi mais pitié, reposez ce vase, il vaut plus cher que vous !" Nériaès à Kassendrel

"A quoi penses-tu ?
-A une paire de Ray-ban." Azanov et Königs, en pleine scène "romantique"

xDDD

Moi faut que je cherche. Mais il doit y en avoir quelques unes. ><
Le mieux c'est quand le perso l'a trouvé tout seul, comme tu dis. Après tu relis la phrase et tu te fais "Pff, non mais alors lui/elle." u_u

J'ai fouillé mon histoire et j'en ai trouvé pas mal.

Bloody Tear :

- Avec ce genre de raisonnement, tu vas finir vieille fille. (Elodie)
- Et toi, tu finiras salope ! enfin, tu l’es déjà un peu, de toute façon. (Alex)
- Quoi ? t’es vraiment trop méchante avec moi, Alex ! (Elodie)
- Divorcée trois fois, avec quatre gosses de pères différents… non, franchement, j’préfère finir vieille fille… (Alex)

- Tu crois que le prof laissera Alex s’inscrire dans la catégorie garçons ? (Elodie)
- Ça dépend. Peut-être que si on lui fait quelques gâteries, il ne dira pas non ? (Cathy)

- N’importe quoi ! j’ai déjà eu un petit ami, figure-toi ! (Alex)
- Ah bon ? quand ça ? (Yoann)
- Quand j’avais dix ans. (Alex, toute fière)

- Vas pas t’imaginer n’importe quoi. En plus, t’es pas assez brun. Moi, je veux un mec aux cheveux noirs ! (Alex)
- Ah, parce que tu veux un mec, maintenant ? (Yoann)
- Bien sûr que non ! pourquoi je m’encombrerai d’un truc aussi inutile ? (Alex)

- Mmh… Je devrai peut-être mettre la virginité d’Alex sur ebay. On la donnerait au plus offrant. (Elodie)
- Ben, y’aurait pas beaucoup d’acheteurs, si tu veux mon avis. (Yoann)

- Dis, on ira sur le toit du lycée, tout à l’heure ? (Alex)
- Hein ? que tous les deux, tu veux dire ? (Morgan)
- Oui… (Alex)
- Ah, non, c’est pas possible. (Morgan)
- Pourquoi ? (Alex)
- Ben, j’ai oublié mes capotes, aujourd’hui. Une autre fois, ok ? (Morgan)

- Alors, on sort ensemble ? (Morgan)
- Jamais de la vie ! (Alex)

- Où est-ce que tu emmènes ma sœur ? (Elodie à Morgan, en parlant d’Alex)
- Dans le vestiaire des gars. (Morgan)
- Ah ! et qu’allez-vous en faire ? (Elodie)
- Ben, on va la partouzer. (Morgan)
- QUOI ?! (Alex)
- Ah, bon, si ce n’est que ça, tu peux l’emmener ! (Elodie)

- J’ais pas l’intention de crever avant de t’avoir baisée, poulette. (Morgan à Alex)

- Bon, maintenant qu’on a fait la séquence romantique, on peut passer à celle du sexe, non ?! (Morgan à Alex)

- Je disais qu’il faut que tu te grouilles de dépuceler Alex pour que je puisse la baiser ensuite ! (Morgan)
- Et pourquoi ce serait à moi de me la farcir le premier ? (Yoann)
- Ouais, c’est pas logique. De nous trois, c’est toi qu’a la plus d’expérience avec les filles, Morgan ! (Jason)
- Et alors ?! (Morgan)
- Et alors, t’es le seul capable de la dépuceler dans les règles et sans douleur ! (Yoann)
- Hé, au cas où vous seriez pas au courant… JE SUIS LA !!! (Alex)

- Excuse-toi tout de suite ! (Alex)
- Ça dépend. Tu me suces ? (Morgan)

- Bon, j’accepte de te pardonner sans punition… (la mère)
- Quoi ?! (le père)
- Sérieux ? (Alex)
- A une condition. (la mère)
- Ah… je m’en doutais… (Alex)
- Je veux que tu répondes à une question. (la mère)
- Ah ? et… c’est quoi ? (Alex)
- Est-ce que Yoann embrasse bien ? (la mère)

- Qu’est-ce qu’y a ? (Morgan)
- Y’a que si tu fermais ta gueule de temps en temps, le monde ne se porterait pas plus mal ! (Alex)

- Salut, princesse ! Je t’ai manqué ? (Morgan)
- Pas le moins du monde. (Alex)

- Comment ça, ouais ? t’as passé l’après-midi avec ton chéri, et c’est tout ce que tu trouves à dire pour résumer ça ? (Elodie)
- Ben… ouais. (Alex)

- Je t’avais pourtant interdit de draguer ma mère et ma sœur, Morgan ! (Alex)
- Tu veux me garder pour toi toute seule, avoues ? Ouhh, quelle coquine tu fais, Alex ! (Morgan)

- Et ben ! tu fais toujours sonner trente fois avant de répondre, toi ? (Morgan)
- J’avais pas l’intention de répondre. (Alex)

(au téléphone) :
- T’es avec une fille ? (Alex)
- Hein ? euh… non ! (Morgan)
- Menteur ! t’es avec une fille ! (Alex)
- Mais non ! (Morgan)
- C’est plus une question ! (Alex)

- Bon, t’as couché avec lui. Et après ? il est où le problème ? il a pas voulu que vous sortiez ensemble ? (Alex)
- Il est homo. (Elodie)

- C’est complètement débile, ton truc ! (Alex)
- Pourquoi ? (Elodie)
- C'est des machins de filles, ça ! (Alex)
- Mais tu es une fille, Alex ! (Elodie)

- En tout cas, c’est vrai que ça te va bien, ce nouveau piercing… (Alex)
- Ça te fait mouiller, pas vrai ? (Morgan)

- Alors, princesse, on bécote les canards en plastique, maintenant ?
[…]
- J’espère que c’est à moi que tu rêves quand tu roules des pelles à tes jouets, au moins ?
(Morgan)

- On dirait une actrice de film porno. (Morgan, en parlant d’Alex)
- C’est… un compliment ? (Alex)
- Ben… ouais. (Morgan)

- On va faire quoi, comme pièce ? (Morgan)
- J’aimerai reprendre un Disney… (la prof)
- Ah. (Morgan)
- Une chose est sûre, tu seras pas le prince charmant. (Alex)
- Je veux bien l’être, moi. A condition que tu sois ma princesse. (Morgan)

- Vous faîtes quoi, là ? (Morgan)
- On kidnappe Alex deux minutes, si ça vous dérange pas ! (Cathy)
- Ouh la ! on s’en fout, nous. (Jason)
- Ouais, un boulet de moins, ça va pas nous tuer. (Morgan)

- Salope ! T’as pas le droit de te taper Morgan alors que tu me l’interdis, à moi ! (Elodie à Alex)

- A quoi tu penses, obsédé ? (Alex)
- J’ai pas besoin de te le dire, je crois. (Morgan)

- Une minute, j’ai dit ! Y’a pas de raison pour qu’une salope comme toi ne s’occupe que d’un seul mec. (le premier emmerdeur)
- Ouais, nous aussi, on veut s’amuser. (le deuxième emmerdeur)
- Dîtes plutôt que vous voulez vous dépuceler, bande de merdeux. (Alex et sa délicatesse habituelle)

- Qu’est-ce que tu fous ? (Elodie)
- Bah, je m’asseois. (Alex)
- Au milieu ? (Elodie)
- Bah oui. Faut bien laisser une place à Morgan. (Alex)
- Pourquoi tu le laisses pas au milieu, lui ? (Elodie)
- Pour que tu puisses mettre ta tête sur son épaule en faisant semblant de dormir ? non merci ! (Alex)

- Tiens ! Alex, mon petit-fils préféré ! (le grand-père)

- J’ai peur de t’aimer encore plus si je m’endors près de toi. (Alex)
- C’est possible ? (Morgan)
- Je sais pas. (Alex)
- Alors peut-être que si on dort ensemble, je t’aimerai. (Morgan)

- Tu n’es pas avec Morgan ? (la mère)
- Non. (Alex)
- Etrange… (la mère)
- Bah quoi ? Il me suit pas toujours comme un petit chien… (Alex)
- Non, en effet. Tu le suis toujours comme une petite chienne. Nuance. (la mère)

- N’importe quoi… si tu t’es comporté comme ça, c’est pas parce que tu es un obsédé… c’est parce que tu es amoureux. (Elodie)
- Désolé de te décevoir, Elo, je suis pas amoureux de toi. (Morgan)

- C’est beau… (Elodie)
- Qu’est-ce qui est beau ? (Morgan)
- La façon dont tu la regardes. C’est magnifique. (Elodie)

- J’ai froid. (Alex)
- Tu veux que je te réchauffe ? (Morgan, non sans sous-entendus)

(a)

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